Si vous avez 33 ans, il est possible que vous soyez dans l'année la plus heureuse de votre vie selon une étude de Friends United, site Internet sur lequel amis et familles peuvent partager les meilleurs moments qu'ils ont vécu ensemble ou individuellement.
La recherche, effectuée en Grande-Bretagne sur des personnes âgées de plus de 40 ans, a démontré que 70% d'entre elles n'étaient pas vraiment heureuses jusqu'à ce qu'elles aient atteint l'âge de 33 ans.
Pour comparer, l'étude indique que 6% seulement ont estimé avoir été plus heureux durant leurs années universitaires et 16% durant leur enfance ou leur adolescence relève le site Business Insider.
Les participants avancent plusieurs raisons, parmi lesquelles la question sentimentale ne ressort pas, pour expliquer ce bonheur: 53% s'amusaient le plus à 33 ans, 42% étaient plus optimistes par rapport à l'avenir, 38% étaient moins stressés, 36% étaient heureux car ils ont eu des enfants, 31% car leur famille était réunie et 21% ont mentionné une réussite professionnelle notable à ce moment de leur vie.
«30 ans est le nouveau 20 ans», affirme le site NewsFeed. Interogée par Friends United, Donna Dawson, psychologue, donne une explication à cet «âge magique»:
«L'âge de 33 ans est un temps assez long pour avoir secoué la naïveté de l'enfance et l'intrigue sauvage de l'âge adolescent, sans pour autant perdre l'énergie et l'enthousiasme de la jeunesse. A cet âge, l'innocence a été perdue, mais notre sens de la réalité est mélangé avec un fort sentiment d'espoir, un esprit de "challenge", et une croyance saine dans nos propres talents et capacités. Nous n'avons pas encore développé le cynisme et la lassitude qui vient avec les années ultérieures.»
Ce n'est pas la première fois que des études sont effectuées pour déterminer les moments heureux ou les conditions à réunir pour être heureux. Une étude dont nous vous parlions en 2010 affirmait elle que nous étions le plus heureux dans un âge plus avancé de la vie, entre 70 ans et 80 ans:
«Une psychologue sociale de Stanford appelle ça “le paradoxe du bien-être”: à partir de 65 ans, les adultes doivent faire face à des défis physiques et mentaux, mais l'âge leur apporte en même temps une abondance de connaissances sociales et émotionnelles que les scientifiques définissent comme la sagesse.»
Slate.fr
La recherche, effectuée en Grande-Bretagne sur des personnes âgées de plus de 40 ans, a démontré que 70% d'entre elles n'étaient pas vraiment heureuses jusqu'à ce qu'elles aient atteint l'âge de 33 ans.
Pour comparer, l'étude indique que 6% seulement ont estimé avoir été plus heureux durant leurs années universitaires et 16% durant leur enfance ou leur adolescence relève le site Business Insider.
Les participants avancent plusieurs raisons, parmi lesquelles la question sentimentale ne ressort pas, pour expliquer ce bonheur: 53% s'amusaient le plus à 33 ans, 42% étaient plus optimistes par rapport à l'avenir, 38% étaient moins stressés, 36% étaient heureux car ils ont eu des enfants, 31% car leur famille était réunie et 21% ont mentionné une réussite professionnelle notable à ce moment de leur vie.
«30 ans est le nouveau 20 ans», affirme le site NewsFeed. Interogée par Friends United, Donna Dawson, psychologue, donne une explication à cet «âge magique»:
«L'âge de 33 ans est un temps assez long pour avoir secoué la naïveté de l'enfance et l'intrigue sauvage de l'âge adolescent, sans pour autant perdre l'énergie et l'enthousiasme de la jeunesse. A cet âge, l'innocence a été perdue, mais notre sens de la réalité est mélangé avec un fort sentiment d'espoir, un esprit de "challenge", et une croyance saine dans nos propres talents et capacités. Nous n'avons pas encore développé le cynisme et la lassitude qui vient avec les années ultérieures.»
Ce n'est pas la première fois que des études sont effectuées pour déterminer les moments heureux ou les conditions à réunir pour être heureux. Une étude dont nous vous parlions en 2010 affirmait elle que nous étions le plus heureux dans un âge plus avancé de la vie, entre 70 ans et 80 ans:
«Une psychologue sociale de Stanford appelle ça “le paradoxe du bien-être”: à partir de 65 ans, les adultes doivent faire face à des défis physiques et mentaux, mais l'âge leur apporte en même temps une abondance de connaissances sociales et émotionnelles que les scientifiques définissent comme la sagesse.»
Slate.fr
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